L'Herpès est une maladie virale chronique responsable d'éruptions cutanées récidivantes. Cette maladie, sous quelque forme que ce soit, ne peut jamais être totalement guérie pour le moment et impose donc au porteur de prendre des précautions, y compris en dehors des crises (il reste potentiellement contagieux).

Nouvelles methodes pour soigner l'herpès ? Herpès et soleil, bronzage

Nouvelles sur l'herpès, actu herpès :

Le zona est une maladie virale due à une réactivation du virus varicelle-zona ou VZV, pour Varicella Zoster Virus, appartenant à la famille des herpes virus, qui est le virus responsable de la varicelle.

L’été est la période idéale pour prendre d’agréables bains de soleil et s’assurer un joli bronzage. C’est la saison où l’on oublie tous ses soucis, où l’on a envie de ne penser à rien. Mais un bouton de fièvre peut s’avérer très gênant. Et la chaleur du soleil peut en causer l’apparition !

Une diminution de l’immunité peut aussi causer une poussée d’herpès labial. Pensez donc à manger équilibré et à faire de l’exercice pendant vos vacances, sans oublier de bien vous reposer.
Si malgré tout un bouton de fièvre apparaissait, traitez-le dès les premiers picotements à l’aide d’un médicament antiviral.
L’application d’un glaçon (dans un mouchoir) peut soulager la douleur et les démangeaisons.
Un bouton de fièvre est très contagieux. Tant pour votre entourage que pour vous-même. Touchez-le le moins possible et lavez-vous régulièrement les mains.
Faites également attention lorsque vous vous (dé)maquillez. Le bouton de fièvre peut aussi se transmettre à un autre endroit. (source : extrait de www.vita.be )


«Beaucoup d’animaux marins ont le corps mou, alors leurs principales défenses contre la prédation et la compétition sont chimiques», a indiqué hier, au congrès de l’Acfas, Annie Mercier, professeure en sciences de la mer à l’Université Memorial, à Terre-Neuve. Pour cette raison (entre autres), dit-elle, les organismes marins produisent de nombreuses substances pouvant avoir un intérêt médical.Cette gamme est d’autant plus large, poursuit Mme Mercier, que les océans abritent une biodiversité qu’on a longtemps sous-estimée. Sur les 38 grandes catégories d’êtres vivants connus (les phylums), 19 sont exclusivement aquatiques, contre une seule qui est exclusivement terrestre, le reste étant en quelque sorte «amphibie».Les efforts de recherche ont permis jusqu’à maintenant de découvrir des milliers de nouvelles molécules aux usages variés. Par exemple, illustre Mme Mercier, une espèce d’éponge nous a donné la spongothymidine, dont on a dérivé l’AZT, un médicament utilisé pour combattre le sida, l’ara-A, efficace contre l’herpès, et l’ara-C, utilisé dans le traitement de la leucémie.